vendredi 15 mai 2020

INVARIANT

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Deux sculptures ont servi de base dans l’interrogation du regard porté sur la perception de la forme et du fond. Elles ont constitué un invariant par leur structure et leur forme. Seul un jeu de coloration les a fait évoluer, une peau chromatique les a transformées en passant du blanc pur de titane évoquant les icebergs captant leurs contours par la lumière pour ensuite aller dans un jeu graphique asynchrone au plus proche de l’énergie concentrée par les branches de hêtre pour enfin atteindre le point opposé extrême du noir de la forme obscure où la lumière caresse à peine la structure des ténèbres.